Printemps de Bourges 97 |
du au 20 avril 1998 |
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En présence de personnalités de toutes tendances, et en grande pompe genre mocassin, le dernier tronçon de la piste cyclable Grand Junction - Bourges vient enfin d'être inauguré.
Le kokopelli a débranché sa guitare et peut maintenant rentrer chez lui, dans les pueblos, à vélo.
Comme promis, il nous a apporté soleil et musiques décoiffantes.
On dit qu'il emmène aussi avec lui une birette (*) !
Beaucoup vont attendre avec impatience leur retour.
(*) une sorcière, dans le BerryTous les deux ans un sondage est effectué (grâce aux étudiants de l'IUT de Bourges) auprès d'un échantillon de 1200 spectateurs répartis en quatre catégories égales liées aux quatre couleurs et tendances artistiques (rock techno-trip hop, chanson et rap-reggae).
Cette enquête permet de dresser le profil type du festivalier de 1997 :
- masculin (59 % sont des hommes, et 74 % pour la nuit de la techno), - jeune (77 % ont moins de vingt-cinq ans, contre 56 % en 1995), - citadin (63% habitent une ville de plus de 20000 habitants ), - venant du Centre (61%). |
Fidèle (seules 32 % des personnes interrogées sont venues pour la première fois) et prévoyant (70 % ont acheté leurs places un mois à l'avance), il vient autant pour voir un concert précis que pour baigner dans l'ambiance, et quelle que soit la programmation (45%).
Le festival dans son ensemble, et l'image du Kokopeli en particulier, lui ont beaucoup plu (90% sont repartis contents et 94% ont aimé le nouveau logo).
En plus des concerts, iI a profité des scènes ouvertes (81%) et des concerts dans les bars (54 %).
Son opinion est partagée sur l'aspect international (48%) ou national (47%) du festival.
S’il est de la région, il est resté quatre jours et a dépensé 300 francs en moyenne pour les spectacles.
S’il est venu de plus loin, il n'est resté que deux jours et demi, a dépensé 250 francs en moyenne pour les spectacles, et 200 francs pour le trajet (76%). Il est venu le plus souvent en voiture (71%), a dormi chez des amis ou des parents (40%) ou encore dans sa voiture, dehors ou au gymnase. Il a pu aussi faire l'aller-retour (pour 34 %) sans dormir à Bourges.
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Conception | Dernière mise à jour | |
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© Renaud MAVRÉ | 13 Février 1998 |